Ce que j’ai appris pendant l’audit d’iBanFirst

J'ai participé à l'audit d'iBanFirst avec Bulldozer. Les entretiens avec les employés ont été la partie la plus importante de mon intervention.

Grâce à Bulldozer, j’ai contribué à l’audit outbound d’iBanFirst. TL;DR de mes apprentissages.

Divergence-Convergence

J’ai appris qu’un audit se divisait en deux phases :

  1. Divergence → la conduite d’entretiens avec le client

  2. Convergence → la rédaction d’un compte-rendu d’audit qui l’aide et le satisfasse

Divergence : les entretiens

  • Diverger : les questions préparées “couvrent la surface”; celles qu’on pose en rebondissant sur une réponse permettent réellement de “creuser” (c’est ce que j’entends par “diverger”).

  • Demi-préparé : pour se laisser la place de “diverger”, j’ai trouvé utile de venir préparé, mais pas trop—quelques questions essentielles pas plus.

  • “Pourquoi” : le mot français avec le plus gros ROI lol (dans le pro, comme dans le perso btw)

  • 80/20 : ce sont les temps de parole, et 20% c’est le mien.

Convergence : le compte-rendu d’audit

  • Optimum : la solution optimale n’est pas la solution techniquement pure, c’est celle qui puisse être acceptée par tout le monde.

  • Vomit draft : j’ai trouvé utile de ne pas me préoccuper de la structure du compte-rendu en premier lieu, et de simplement tout coucher dans Notion.

  • Sculpture : j’ai vu le vomit draft comme le bloc de marbre dans lequel sculpter le compte-rendu, par itérations successives, et au gré des retours de Jordan.

  • Problématique : comme dans une dissertation, la problématique m’a aidé à structurer ma partie du compte-rendu—c’est le fil conducteur.

Bonus : 1 image vaut 1000 mots donc, si possible, faire un diagramme en support.

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