- Bastien Vélitchkine
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La fin du LinkedIn ban à cause de Phantombuster
J'ai construit une app pour ne plus se faire bannir de LinkedIn en utilisant Phantombuster.
Ce post est une re-édition. L’application dont il est question ici n’est plus maintenue.
Ce qu’on perd lorsqu’on se fait bannir de LinkedIn
C’est la hantise de tous les growth : se faire bannir de LinkedIn. J’ai construit une application pour que ça n’arrive plus jamais aux utilisateurs de Phantombuster.
Un compte définitivement banni, ce sont des milliers de connections tissées au fil des ans qui s’évaporent définitivement.
Pourquoi les instructions de Phantombuster ne suffisent pas
Théoriquement, il suffit de suivre les indications de Phantombuster sur les limites à ne pas dépasser pour être à l’abri. Mais elles sont difficiles à interpréter dès lors qu’on utilise plusieurs phantoms simultanément, sur un même compte LinkedIn.
C’est pour cette raison que j’ai créé Phantoms Health. Mon app scanne la totalité d’un workspace Phantombuster, et analyse conjointement la configuration des agents pour alerter un utilisateur qui prend des risques.
Phantoms Health est un garde-fou à utiliser une fois la configuration de Phantombuster terminée pour vérifier une dernière fois que tout est en règle.
Bon à savoir
Phantoms Health se contente de la lire et donner des instructions, sans jamais modifier la configuration de Phantombuster.
Phantoms Health est un MVP (donc plutôt moche et comporte des petits bugs).
Motivations
Tu t’en doutes, j’ai pas développé cette application de bonté de coeur. Voici mes motivations :
C’est le point d’entrée d’un funnel de demand generation. Après avoir créé un compte, les utilisateurs reçoivent des mails à forte valeur ajoutée pour apprendre à augmenter leurs taux de conversion outbound. Libre à eux de se désinscrire s’ils s’en fiches.
Qui sait, le produit pourrait s’étoffer et devenir une source de revenu récurrente
Je suis convaincu que le meilleur moyen de faire du bon contenu, c’est a) faire des choses intéressants puis b) de les raconter. C’est ce que j’ai fait dans ma newsletter où j’ai expliqué comment j’ai réalisé ce projet en 126h.
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