Write in Public

Les entreprises ont le build in public. Les films ont leur making of. Quid des newsletters et des livres ?

Ce post est une réédition. Réaliser ces vidéos me prenait trop de temps et n’étaient pas vraiment visionnées. Je trouve toujours le principe intéressant, mais il me semble que je fais un meilleur usage de mon temps en diffusant mes idées par écrit, directement.

Je lance le “write in public” en emmenant mes lecteurs dans les coulisses de la rédaction de ma newsletter. J’espère les engager encore plus fortement.

De la même manière que l’ère des startups a engendré le build in public, la creator economy voit aussi naître ses “in public” : film in public (i.e “making of”), record in public (podcasts), et, désormais, write in public.

Je crois que c’est un bon moyen de bénéficier des mêmes retombées qu’avec le build in public : à la fois une audience beaucoup plus engagée et une marque personnelle beaucoup plus forte.

Parce qu’on accorde plus de valeur aux choses qui prennent du temps. Si on te montre seulement l’entreprise florissante, le tableau peint, la newsletter rédigée, … on ne réalise pas les difficultés rencontrées.

Le “in public” est là pour les dévoiler. Et c’est pour cette raison que le write in public me semble particulièrement prometteur : parce qu’écrire prend du temps, et réécrire encore plus.

Je pense à ma newsletter : avant de publier un épisode, je le donne à relire à Merlin et Axel pour qu’ils me fassent leurs critiques.

Je passe alors un temps considérable à les traiter, à me relire, à réécrire, …

C’est ce que j’ai décidé de montrer dans ce nouvel épisode de Write in Public.

Evidemment, j’encourage tous les écrivains à “write in public” : emmenez-nous dans les coulisses, montrez-nous comment vous créez, comment vous hésitez.

Je crois sincèrement que c’est le début d’un beau mouvement.

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